Note de 2007: cette rubrique avait pour but de donner une liste ordonnée de tous les textes que nous avions sortis contre les réformes. Ci-dessous, la version de juillet 2000, la dernière. Nous avons aussi retrouvé celle de la rentrée 99 et celle de décembre 99

Contre les réformes Bayrou-Allègre,
Pour une université publique de qualité ouverte à tous,
la lutte doit continuer !

Depuis de nombreuses années, quels que soient les gouvernements, l'Université est victime d'une mme logique: casse du service public, désengagement financier de l'Etat, régionalisation, soumission croissante aux intérts à court terme des entreprises, remise en cause du contenu scientifique des enseignements (a cote cher et, de leur point de vue, a ne rapporte rien).

Cette politique de casse s'est brutalement accélérée avec la réforme annoncée par Bayrou en février 1997, appliquée par Allègre depuis, complétée par toutes les mesures et projets qu'on peut regrouper sous l'expression "réformes Allègre", dont l'essentiel était dans le rapport Attali de juin 1998.

Dans ce contexte, la lutte contre ces réformes a évidemment été, et reste, notre priorité en tant que syndicat étudiant.

Nous avons en particulier appelé auxl grandes manifs de l'Education nationale contre Allègre celle 20 mars 1999 , o nous avons été plus de 60 000 à réclamer sa démission, celles du 16 mars et du 24 mars 2000 , qui l'ont obtenue. La lutte continue pour que les réformes suivent le chemin de leur auteur...

Nous faisons le point sur cette lutte à l'occasion des chanes d'inscription de juillet 2000, dans notre guide de l'Etudiant de Paris IV:
Allègre est parti, ses réformes doivent le suivre
Semestrialisation, chronique d'un désastre annoncé
Licence professionnelle, l'Arnaque du Troisième milénaire
Sauvons le CAPES et l'Agrégation
et dans le numéro 15 de Trait d'Union.

Vous trouverez une analyse plus ancienne mais plus détaillée de la politique de casse de l'Université publique et des moyens de lutter contre dans les textes adoptés par notre congrès d'AGE en mars 1999, Défendre la qualité de nos études et Les moyens de la riposte Vous trouverez ci-dessous, répartis entre trois thèmes, l'ensemble des textes que nous avons publiés auparavant.

Contre la réforme Bayrou-Allègre

Contre la réforme Bayrou, nous avons d'abord dénoncé les dangers de la réorientation et l'imposture de la méthodologie dans les éditions successives de notre guide. Nous avons adopté en avril 1998 un texte d'analyse sur les stages, repris par le guide de cete anée là, Stages: dénonons le marché de dupes !.

Quand Allègre a imposé la semestrialisation à notre Université, nous avons réagi dasns les conseils et dans Trait d'Union de décembre 1999: Semestrialisation: l'ouragan Bayrou-Attali arrive sur Paris IV, texte mis à jour dans le guide 1999/2000, puis celui de cette année par l'indication de ce que nous avions obtenu et de ce qui restait à obtenir.

Nous avons lancé à la rentrée avec un tract intitulé La rentrée de toutes les catastrophes ?, une campagne contre les effets de la semestrialisation sur la capitalisation des acquis et les conditions d'examen, dont le bilan a été fait dans Trait d'Union numéro 9: Contre la réforme Bayrou Allègre, une victoire qui en appelle d'autres et La réforme Bayrou-Allègre abrogée à Paris IV ?

Une analyse des conséquences de la réforme sur les examens et nos revendications à ce sujet ont été données dans le numéro 10: Examens: la grande pagaille qui prépare le grand désastre

Contre la baisse des postes au concours

Nous avons dès l'origine, et jusqu'au lancement de notre pétition Sauvons le CAPES et l'Agrégation fait le lien entre la politique générale du ministèreet la baisse du nombre de postes aux CAPES et agrégations, question sur laquelle nous sommes restés constamment mobilisés depuis février 1997, comme vous le montreront les textes suivants:


Juillet 1998: Menace sur les concours... et sur l'enseignement secondaire guide 1998
Octobre 1998: CAPES-Agreg, une question qui concerne tout le monde
T-U 4
Novembre1998 : CAPES/Agreg: de pire en pire !T-U 5
Novembre 1998: Le Trait d'Union spécial CAPES/Agreg
Janvier 1999: Contre la baisse des postes aux CAPES et Agrégations T-U 6
Juillet 1999: Postes aux concours:une baisse continue et significativeguide 1999
Février 2000: Les réformes Bayrou-Allègre visent prioritairement le CAPES et l'Agrégation. Réagissez avec nous ! T-U 11

Contre le rapport Attali et les réformes Allègre

Nous avions analysé dès sa publication les dangers du rapport Attali, dans notre guide de juillet 1998. Aussi avons-nous participé à la mobilisation contre ce rapport à l'automne, qui a été soutenue par un communiqué du collectif national de l'UNEF (6 décembre 1998). L'éditorial de T-U 5, Trop, c'est trop !, appelait à cette mobilisation. Nous avons ensuite soutenu la grève des étudiants de Tolbiac à la mi-décembre (notre appel). Paris IV était représenté à la coordination nationale qui s'est tenue le 19 décembre à Rouen (L'appel qu'elle a voté).

C'est sur notre participation à ce mouvement que nous avons axé notre plate-forme pour les élections aux conseils centraux de Paris IV (Contre la casse de l'Université publique, de réforme Bayrou en rapport Attali et Agir contre la logique de casse de l'Université publique ! ), que nous avons gagnées pour la première fois.

En février l'éditorial de T-U 7, Contre les réformes Allègre: après les élections, la mobilisation, tirait les leons de ce mouvement et appelait à le poursuivre.

Une synthèse était donnée dans notre Guide de juillet 1999, Contre les réformes Allègre, pour l'Unversité publique.

Nous avons ebsuite pris position sur les deux dernières mesures d'Allègre, le mastaire et la licence professionnelle, dans Trait d'Union:
Vous avez aimé la réforme Bayrou-Allègre ? Vous adorerez la réforme Allègre-Attali ! T-U 9, p. 4
Licence professionnelle:T-U 10, p. 4
Les textes publiés par nous à l'occasion des élections d'UFR du 22 février faisaient le point sur les réformes et notre lutte contre elles<, juste avant le grand mouvement de l'Education nationale qui a obtenu le retrait de l'odieux ministre, mais pas encore celui de ses réformes et de celles de son prédécesseur.